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Lifestyle

Les petits bonheurs de fin d’été

22 September 2017

Il paraît que l’automne arrive, mais j’ai décidé de faire durer encore un peu l’été en Sicile.
Je profite d’une sieste de mon fiston, blotti sur ma poitrine, pour partager quelques lignes qui ont le goût de l’Italie et l’odeur des embruns.

Une liste non exhaustive de petits bonheurs qui ont le goût d’une rentrée buissonnière.

  • Ne pas porter de manteau, ni de veste, mais un maillot de bain sous sa robe
  • 
Tout partager à 3, et se plaindre pour le sport
  • 
Boire des Spritz, mais en Italie
  • 
Compter combien de nuances de bleus il existe entre le ciel et la mer
  • Imaginer la vie des gens que l’on croise dans la rue
  • 
Choisir la playlist en voiture et chanter à tue tête
  •  Regarder mon fils accomplir de nouvelles choses, tous les jours
  • 
Manger des glaces et des granités, parce que c’est l’été
  • Méditer, sur la plage, au lit, en voiture
  • 
Sourire aux autres, et recevoir un sourire en retour
  • 
Ne porter que des sandales et voir ses doigts de pieds
  • Lire. Lire. Lire.
  • Sentir le vent, l’odeur des pins et des fleurs
  • Decider du programme chaque jour, et prendre le temps de vivre, sans se presser
  • Voir son enfant découvrir la cuisine italienne, et se régaler de pâtes, risottos et glaces
  • Prendre des photos avec les yeux, et les coller dans notre album de souvenirs
  • Voir nos peaux se dorer au soleil, et les cheveux blondir.

 

Quels sont vos petits bonheurs du moment ? 

Passez une douce semaine, au bureau, à la maison, en vacances, et où vous voulez !

Bien-être, Lifestyle

Et si chercher le bonheur était finalement cultiver l’équilibre de vie ?

2 November 2016

 

J’aime parler de bonheur ou de gratitude à travers mes articles. Pour autant, je ne pense pas que le bonheur soit un état stable et pérenne, mais plutôt une chose fragile que l’on doit constamment entretenir.

En échangeant sur les réseaux ou par email, je me suis rendue compte que l’idée d’atteindre un sentiment de plénitude “je sens que je suis au bon endroit, entouré(e) des bonnes personnes”, semblait intouchable pour beaucoup d’entre nous.

Trouver l’équilibre n’est pas une chose facile, car quand on pense l’atteindre, il est souvent mis en danger par des sentiments inexpliqués ou des éléments extérieurs.

Si vous cherchez à atteindre une vie parfaite, soyez sur que cette quête vous rendra malheureux(euse). En réalité, chercher l’équilibre est plus important que chercher le bonheur. Chercher l’équilibre c’est accepter la fragilité des choses, leur état temporaire, et surtout comprendre que l’on doit rester en permanence à l’écoute de nos ressentis, et de l’environnement extérieur pour agir en conséquence.

Prenez un exercice d’équilibre en apparence très simple au yoga, la position de l’arbre. Pour la majorité d’entre nous, elle n’est pas évidente à tenir du premier coup et demande de la patience. Il faut être constamment concentré(e) sur un point à fixer, avant de se sentir suffisamment à l’aise pour se détendre et lever les bras. Mais quand on pense la maitriser on se rend compte que chaque jour est différent, la stabilité n’étant pas une vertu linéaire, et que notre équilibre peut être différent d’un pied à un autre.

La recherche du bonheur, ou plutôt de l’équilibre en est la parfaite métaphore : il n’existe pas de situation idéale, il faut constamment travailler et se remettre en question, et tout peut être chamboulé en un instant.

Cette idée peut être alors appliquée au couple, au travail, aux projets personnels, et à la famille. Il est impossible de se dire parfaitement heureux(euse) en toute situation, mais accepter que les choses sont fragiles, ne pas chasser les pensées négatives, mais les équilibrer avec des pensées positives représente la notion d’équilibre.

Vivre dans une quête d’équilibre est bien plus réaliste et surtout plus épanouissant qu’une recherche utopique du bonheur. Il faut certes y travailler au quotidien, mais c’est finalement accepter que l’on acteur(ice) de sa vie, et surtout que les situations parfaites n’existent pas en théorie.

Pour se sentir heureux(euse), il est important d’identifier les piliers fondamentaux ( la famille, le lieu de vie, une passion, la vie spirituelle…), et comprendre que le reste est soumis à des compromis. Par exemple, ma famille est le pilier indispensable dans ma vie, comme cultiver certains idéaux philosophiques. Pour certains, la poursuite d’une passion artistique passera avant tout, et le reste ne sera que compromis (lieu de vie ou conditions économiques).

Prenons le temps d’identifier ce qui est essentiel à notre équilibre et surtout à le faire régulièrement. Tout change selon l’âge, l’expérience de vie, et les événements que l’on rencontre. Il faut aussi accepter de ne pas être radicaux dans nos choix, vivre dans une recherche d’équilibre étant avant tout de comprendre que les choses peuvent changer à tout moment.

Finalement, être heureux est peut être d’accepter le caractère inexpliqué de la vie : être une personne bonne et généreuse n’empêchera pas les épreuves douloureuses, mais l’exercice est d’apprivoiser cette part de fatalité, et surtout de mieux la vivre en l’opposant à des éléments plus positifs.

Alors avant de se lancer dans une quête utopique du bonheur, n’est il pas plus réaliste d’apprivoiser la notion d’équilibre, si fragile, mais plus réaliste et épanouissante dans la durée ?

 

Photo libre de droit Pixabay

 

Bien-être, Lifestyle

#mondefigratitude, premier bilan

9 December 2015

 

Il y a plus d’une semaine, je vous proposais de participer à un défi gratitude (relire l’article). Le principe, une fois ou dix fois, partager spontanément ces petites choses du quotidiens qui rendent heureux(ses) sur les réseaux sociaux avec le #mondefigratitude 

J’ai été littéralement surprise de voir l’engouement autour du défi, et surtout de me rendre compte que l’on pouvait tous/tes ensemble essayer de créer une sphère positive et surtout communicative.

J’en discutais avec certaines d’entre vous sur Twitter, mais partager des pensées positives et lire celles des autres nous incite concrètement à se focaliser sur le coté positif de nos vies. 

Par exemple, après une journée difficile, j’ai suivi une abonnée Twitter chercher ce qui lui avait finalement fait du bien dans la journée, et essayer de se focaliser dessus pour essayer de passer outre des événements compliqués.

Le positif amène le positif, et si il est parfois facile de critiquer les réseaux sociaux souvent anxiogènes, il nous appartient de changer les choses. J’ai eu des coups de gueule cette semaine, mais vos pensées m’ont aidée à me concentrer sur ce qui était lumineux dans ma vie.

Lire vos mentions #mondefigratitude sur Twitter au réveil et au coucher réussi à me rendre heureuse et souriante (vraiment) en quelques secondes.

On a aussi peu l’occasion d’en savoir sur les autres, d’appartenir à une communauté en  découvrant de jolies choses dans vos vies. Des paysages, des verres de vins, des diners en amoureux, des sapins de Noël, des collègues sympas, des couchers de soleil, des enfants…

Alors, sur un carnet, dans un pot à gratitude (le concept est génial), ou sur les réseaux sociaux, continuons à diffuser nos ondes positives! 

 

Je vous partage le fil Twitter #mondefigratitude

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Quelques photos Instagram :

 

 

Et surtout des articles de blogueuses sur le thème de la gratitude. Si vous avez écrit des articles sur le défi n’hésitez pas à m’envoyer le lien, je me ferais un plaisir de les partager.

 

Un immense merci, et prenez soin de vous,

Anouchka

 

Quelles sont vos impressions après cette première semaine du défi gratitude?

 

Bien-être, Lifestyle, Yoga

20 idées simples pour se sentir heureux(se)

19 October 2015

 

Le spleen de l’hiver qui arrive, la nostalgie des vacances, la tuile annuelle qui nous tombe dessus… Vous traînez un petit moral?

Ce qui est bien après une période un peu “down” c’est que l’on peut faire une liste de tout ce qui aide pour se sentir heureux. En vrac, et non classé par ordre d’efficacité (j’ai des limites à mon addiction aux listes)!

 

  • Se préparer de super petits-déjeuners
  • Relire Yoga for Life de Colleen Saidman et Tiny Beautiful Things de Cheryl Straiyed
  • Dormir sans réveil
  • Regarder des films qui font sourire, plus c’est niais, plus ça soulage
  • Prendre le temps de scroller la liste “animal” de Buzzfeed, surtout pour les corgis
  • Se plaindre
  • Aller à un cours de yoga, et de yin yoga si on se sent raplapla
  • Méditer 5 minutes par jour
  • Cuisiner des plats comfort food (Tomato soup, grilled cheese, beans)
  • Se prévoir un massage, ou une séance d’acupuncture
  • Acheter des chaussettes-chaussons et les porter au lit
  • Vivre avec une bouillotte
  • Se faire une playlist “C’était cool quand j’avais 17 ans” (pour moi Placebo, Marilyn Manson et Garbage)
  • Oser dire non, quand vous n’avez pas envie de vous faire violence
  • Se faire poser un masque à l’argile sur la peau, de l’huile de coco sur les cheveux, et se masser les mains
  • Mettre des marshmallow dans son chocolat chaud
  • Regarder Mean Girls et Clueless, encore
  • Faire des crêpes, même si ce n’est pas la Chandeleur
  • Tenir son carnet de gratitude, et écrire une pensée par jour

 

Se répéter que “tout finira par aller mieux”, et y croire.

 

 

Bien-être

30 petites choses qui me rendent heureuse en vacances

20 July 2015

Ah les vacances, le moment de se laisser aller et souffler. J’ai eu envie de faire une liste de ces petits bonheurs qui rendent heureuse.

 

– Lire 3 livres par jour, du réveil, en passant par sa serviette de plage, jusqu’au coucher. Lire des polars, des romans à l’eau de rose, des biographies, bref bouquiner.

 

– Se réserver 1h maxi pour trainer sur Internet. Au delà, on se rend compte que l’on tourne en rond, d’update en update Twitter, que l’on commence à regarder la vie des autres et les autres c’est le mal.

 

– Regarder tous les films avec Elvis Presley le matin, et il y en a quelques uns.

 

– Prendre des photos, de tout, pour garder des jolis souvenirs.

 

– Dormir.

 

– Eteindre son téléphone 23h par jour.

 

– Méditer, et poser de nouvelles intentions positives chaque jour.

 

– Faire de nouveaux projets, sans se brider en pensant que c’est impossible ou vraiment utopique.

 

– Ne toucher à un ordinateur que pour écrire. Uniquement.

 

– Regarder sa peau qui brunit de jour en jour.

 

– Porter la même paire de tongs pendant un mois.

 

– Prendre un café en terrasse tous les jours, idéalement sur une place tranquille.

 

– Manger des glaces, parce que c’est l’été.

 

– Ne pas lire les journaux, ou uniquement en espagnol, au moins on ne comprends qu’un tiers.

 

– Fermer les yeux et penser aux belles choses qui nous attendent, rêver.

 

– Ne rien planifier, se laisser porter selon: le temps, l’envie, et prendre le parti de chambouler son programme si il ne nous satisfait pas.

 

– Chanter, même si la chanson est ringarde, même si c’est Bonnie Tyler.

 

– S’habiller uniquement de shorts et de robes (pourquoi ce jean dans ma valise?)

 

– Faire moins (ou pas) de sport, laisser son corps devenir oisif (et heureux).

 

– Se remémorer tout plein de bons souvenirs.

 

– Ne pas sortir de chez soi avant 13h, de toute façon tout est fermé et il fait trop chaud.

 

– Reprendre un verre de sangria.

 

– Observer les autres sur bord de sa serviette, leur inventer une vie, grogner sur les peaux toutes blanches qui s’obstinent à vouloir bronzer sans parasol.

 

– Sourire beaucoup.

 

– Améliorer son temps quotidien en “sauter dans les vagues”.

 

– Oublier sa trousse à maquillage, tricher avec une crème solaire teintée.

 

– Apprécier le repos, finalement salutaire après des mois à: courir, voyager, et bousculer ses habitudes.

 

– Compter ses tâches de rousseurs.

 

– Discuter en spanglish, rire et faire des signes avec les mains aux serveuses de café.

 

– Aimer, parce qu’on a la chance d’être accompagné de sa moitié.

 

 

A vous de compléter la liste!

 

Bel été à tous(tes).

 

 

Lifestyle

Bonheur! Toutes ces petites choses qui me rendent heureuse.

12 May 2015

Depuis quelques jours, je réfléchit à tout ce qui amène du bonheur dans ma vie. Ce que je privilégie pour être heureuse, et au contraire ce que j’ai choisi d’éliminer pour me concentrer sur le positif. En dehors des pâtisseries et des bronzettes dans les parcs, on trouve quelques fondamentaux plutôt universels.

J’ai décidé (évidemment) d’en faire une liste, parce que j’aime beaucoup les listes, et d’y ajouter des GIF, parce que tout le monde aime les GIF.

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Voyager

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Voyager loin, en Europe, ou autour de chez soi l’essentiel est d’aller explorer un nouveau terrain de jeu. J’aime garder une journée dans la semaine pour découvrir un quartier de Londres.

L’idée est de se laisser porter, se promener, profiter du printemps, prendre un goûter, ou prendre des photos. On retient toujours quelque chose d’une journée à barouder: le nom d’un écrivain, un coucher de soleil, une pâtisserie. Et plus important: on se crée des souvenirs. 

Et même les plus chaotiques deviennent drôle avec le temps, comme l’été où j’ai mangé de la salade de pâtes pendant 3 semaines en Grèce pour cause de monos de colonies véreux. Mais c’est bon les pâtes, et c’est joli les îles Grecques.

Prochaines étapes? Paris, Berlin et l’île de Lanzarote.

 

 

 

Lire

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En déménageant aux Etats-Unis, puis à Londres, j’ai considérablement réduit le nombre d’affaires que je trainais depuis des années. Tout ou presque tient désormais dans quelques valises.

Bye, bye bibliothèque et centaines de CD. J’ai maintenant un Kindle qui me suit partout dans mes aventures. J’ai réappris à bouquiner, et à transformer mes trajets en métro en moment à moi: voyager avec Wild de Cheryl Strayed, rire et pleurer avec Amy Poehler, retrouver mon Paris underground avec Ann Scott et dévorer tous les romans de Titiou Lecoq.

Lire c’est voyager, apprendre, mais aussi une pancarte géante « Je suis dans ma bulle, file ». Et c’est plutôt efficace.

 

 

 

Ecrire

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Lire, écrire. Depuis que je tiens ce blog (2 ans), je me surprend à avoir envie d’écrire un roman. Ecrire un blog m’a libéré de la peur de montrer quelque chose de moi.

Avant j’étais terrorisé par l’idée de montrer mes dessins (en cours d’arts appliqués, pratique), ou chantonner en public (pendant une colo de musique).

Je note soigneusement des idées depuis plusieurs semaines, observe les gens, bouquine beaucoup. Ma prochaine étape est de profiter d’un long break en juillet pour commencer mon bouquin. J’y passerais 6 mois ou 6 ans mais je finirais ce satané bouquin.

Ah, et au final oui j’ai chanté pendant cette cool de musique « Chop Suey » de Système of a Down, donc j’estime que le pire est dernière moi. Pour info : https://www.youtube.com/watch?v=CSvFpBOe8eY

 

 

 

 

Tenir un blog

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Je pourrais écrire un article complet sur tout ce que ce blog m’a apporté. J’ai rencontré des gens géniaux, certains sont même devenus des ami(e)s.

J’ai appris beaucoup sur plein de choses, je me suis engagée dans la cause animale pour de vrai, j’ai osé dire que j’étais féministe, j’ai parlé de mon endométriose et aidé des femmes à se faire diagnostiquer. 

Tenir un blog n’est pas qu’un acte narcissique. C’est aussi et surtout un lieu de partage, une communauté sympathique qui propose toujours un nouveau bon plan, et envoie des encouragements les matins où le moral est tout petit.

Bon, soyons pragmatique, ça me permet de continuer à écrire en français dans mon environnement anglophone où je commence à parler comme Laetitia Halliday. Quoi, challenging ça sonne presque français non?

 

 

 

Faire du sport

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Je suis d’une nature nerveuse. Pour faire simple, mon cerveau fonctionne jusqu’a ce que je vide complètement mon énergie journalière. Quand j’ai découvert le plaisir de faire du sport, j’ai aussi compris que ça pouvait m’aider à canaliser cette énergie. Depuis je pratique 6/7 jours (avec le yoga), du body combat, du body pump (body-plein de choses), du HIIT.

J’adore transpirer, je rigole quand je n’en peux plus et j’y retourne avec plaisir.

Ma prof de sport du lycée rigolerait vert devant l’adolescente qui clopait au lieu de faire des tours de stade. Mais je m’impressionne de motivation et d’envie de runnings et leggings bien trop colorés.

 

 

 

Pratiquer le yoga et la méditation

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On parle souvent de yoga ici, parce que le yoga change la vie. Si peu, oui. En pratiquant le yoga (et différentes types de yoga), j’ai appris que tout était une notion d’équilibre, d’efforts, et de détermination.

Le corps fait des merveilles quand on en prend soin. Je me surprend à aller au cours de Kundalini, même si c’est long, parfois très exigeant, et que l’on ressort de là « un peu chose » mais avec les énergies qui circulent de nouveau correctement dans le corps.

Et puis le yoga transforme n’importe qui en gourou new-âge,je vous met au défi.

 

 

Se recentrer sur l’essentiel

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Pendant longtemps je me souciais de beaucoup de gens et de choses inutiles. La vie des autres, comparer ma vie à celles des copines, ne pas oser être naturelle pour plaire. Et puis j’ai grandi, la vie m’a montré un peu durement parfois ce qu’était l’essentiel et que prendre soin de soi et des gens que l’on aime était précieux.

Depuis je porte une grande attention à mes proches. Ils sont peu, mais infiniment importants. Ma famille, mon cercle d’amis, ces personnes toujours bienveillantes et non intéressées.

J’ai appris à ne plus être rancunière, en vouloir aux autres est une perte de temps. Bref, le positif amène le positif, alors j’ai fini par couper court à mes amitiés toxiques.

Pardon si je ne réponds pas depuis 6 mois, tu viens de comprendre que non, bof en fait.

 

 

 

Apprendre à jongler avec les épreuves de la vie

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Etre positif en attendant que la vie vous amène: un job, l’âme soeur et un pactole de billets ne fonctionnera jamais. Je brise un mythe. Mais voir le positif dans chaque épreuve apporte la sagesse (je fais dans l’indian native).

Que l’on le veuille ou non, il nous arrive des choses fabuleuses comme certaines très dures et il faut apprendre à faire avec. Mon père me dit toujours « Tu peux te plaindre pendant des heures mais au final, cela ne changera rien à ton problème et tu n’auras trouvé aucune solution » (oui chez mes parents on positive, on ne pleure/plaint pas, on se remet en question, et on réfléchit toujours au plan B, et C).

Donc j’applique tout ceci à la lettre quand il m’arrive une tuile: chercher des solutions, relever la tête et toujours me demander ce que je suis en train d’apprendre dans cette épreuve. Nous avons tous le pouvoir le pouvoir de transformer les situations, battez vous, osez, et croyez en vos capacités!

Mon niveau de prise de recul actuel est équivalent au volume sonore et longueur de mes pleurs pendant mes 10 ans d’adolescence. Bref, je suis un devenu un master en zen attitude.

 

 

 

Et vous, ces petites choses à rendent heureux(se)?