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Japon, Tokyo, Voyages & Adresses

Mon city guide de Tokyo

8 February 2016

 

 

Après le premier article FAQ/ questions pratiques pour visiter Tokyo, je vous emmène à la découverte des principaux quartiers de la capitale japonaise.

Quels quartiers visiter? Où se promener? Quelle ambiance? Suivez le guide!

 

 

Visiter Tokyo autrement

Si vous voulez découvrir Tokyo sous un autre angle, mon bon plan, les visites gratuites avec un(e) guide retraité(e) par Tokyo Free Guide. Le service est proposé par le gouvernement japonais, qui propose des tours individuels de la ville par ses habitants. Nous avons passé une journée magique avec Yoshiko, 73 ans qui a repris ses cours de français à la retraite pour pouvoir accueillir les visiteurs des JO de 2020.

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Ebisu

Si vous visitez Tokyo pour la première fois, ou comme nous envie de découvrir une autre facette de la ville, foncez! Vous apprendrez des tas de choses sur la culture japonaise! Pensez à ramener un souvenir de la France, du vin, un livre en cadeau!

 

 

 

Shibuya 

Shibuya le quartier qui ne dort jamais, où se situe le fameux Shibuya crossing, cette intersection qui brasse des milliers de gens chaque jours. Pensez à faire votre photo devant Hachikō la mascotte de la ville!

Ce quartier vit aussi bien la nuit que le jour. La nuit, l’ambiance est électrique au milieu de tous les panneaux publicitaires et les écrans.

C’est l’endroit idéal pour se perdre dans les rues, faire du shopping  (ne pas rater la tour 109 pour se plonger dans la mode japonaise pour adolescents), et prendre un bain de foule au milieu de la jeunesse tokyoïte.

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Shibuya

Pour reprendre son souffle, un tour vers le Meiji Jingu, un temple qui fait office d’oasis au milieu du chaos ou au parc de Yoyogi, un parc magnifique où les runners croisent les ados qui répètent des chorégraphies et le dimanche matin des fans de rockabilly qui se retrouvent pour danser.

 

Pour flaner, direction Ometesando l’avenue qui regorge de boutiques et cafés, et qui vous emmènera à Harajuku, le célèbre quartier avant gardiste de petites ruelles bordées de boutiques originales, de cafés cozy et de restaurants sympa. Pour les végétariens, ne pas manquer Sakura Tei, un restaurant kawaii d’okonomiyaki, l’omelette japonaise que l’on garni (entre autres) de légumes frais. Et profitez en pour visiter Design Festa, un petit centre d’arts qui proposent des expos et des pop up stores originaux.

 

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Harajuku

 

A ne pas rater, la célèbre Takeshita Street le week-end, où les touristes et les adolescents se pressent pour faire le plein de souvenirs et gadgets dans les boutiques à 100 yens (le bon plan pour les accessoires cosmétiques), faire des photos purikura, et trouver des mignonneries kawaii.

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Harajuku

 

 

 

 

Shinjuku

Shinjuku est le coeur Tokyo, où se situe la plus grande gare de la ville. Le jour, ne manquez le parc de Shinjuku Gyoen (prévoir une bonne matinée) pour admirer les jardins à la japonaise, la tea house pour boire un matcha traditionnel, les lacs, les arbres, le calme au milieu de ville. Un endroit magique!

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Shinjuku Park

La tour de Tokyo Metropolitan Government Building, vaut le détour pour voir une vue panoramique de la ville et récupérer des guides à l’office du tourisme.

La nuit, perdez vous dans le quartier (chaud) de Kabukicho, pour découvrir les rues bordées de love hotels (hotels que les couples réservent à l’heure), les bars à hôtes et hôtesses. Kabukicho c’est un spectacle!

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Kabukicho

Pour les amateurs de yakitoris, direction Yakitori Alley, une ruelle à l’ambiance hors du temps qui propose de minuscules bars à yakitoris. Pour les végétariens, il est possible de demander uniquement des légumes! A visiter pour l’apéritif, pour se fondre dans la culture locale!

 

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Yakitori Alley

 

 

Asakusa

Asakusa est un quartier plus traditionnel, moins flashy, et célèbre pour le magnifique temple Sensō-ji et ses rues sublimes d’artisans et marchands de spécialités locales gâteaux à la pâte de haricot rouge, mochis…

Les jours fériés accueillent énormément de japonais qui viennent visiter le temple, pensez à vous renseigner pour assister aux visites traditionnelles.

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Asakusa

Pour les végétariens / vegans, le Byron Bay propose des menus vegan, des cafés au lait de soja/coco, et des gâteaux!

 

 

 

 

Ueno

Ueno est un quartier animé qui donne l’impression d’être resté dans le passé. Très populaire pour son parc et ses ruelles de petites boutiques et marchands de rues.

Le sublime parc de Ueno propose plusieurs temples à ne pas manquer, dont le célèbre Togoshu Shrine, qui est l’un des seuls temples à traduire en anglais la signification des portes bonheurs et souvenirs, le Kaneji Temple, et Kiyomizu Kannon Temple et le Bentendo Temple.

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Ueno Shrine

On y trouve aussi plusieurs musées comme le Tokyo Art Museum, le Tokyo National Museum, le Tokyo Museum of Nature and Sciences et le Shitamachi Museum.

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Ueno Park

Les jours de beaux temps, le bassin Shinobazu propose de faire du pédalos sur canards géants, activité typique et adorée des japonais.

Ueno est l’endroit parfait pour quitter l’effervescence de Shinjuku ou Shibuya et flâner autour des personnes agées qui viennent nourrir les chats, les canards, discuter et manger des bentos.

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Ueno Shrine

 

 

 

 

 

Yanaka

Si vous visitez Ueno ou Asakusa, pensez à visiter Yanaka, le repère des artistes et des artisans. On est loin des quartiers touristiques, dans une ambiance plus locale et authentique,et surtout j’y ai mangé un des meilleurs mochis de ma vie dans la rue de Yanaka Ginza.

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Yanaka

Yanaka Ginza, est la rue commerçante qui propose des stands de « fingers food », des marchands de thé, manju et de l’art traditionnel japonais. C’est ici que j’ai acheté des maneki neko (chats porte bonheur) faits et peints à la main.

Le cimetière de Yanaka vaut aussi le détour, avec ses décorations traditionnelles, les statues, et sa population de chats qui veillent sur les âmes.

 

 

Akiabara

Akiabara est une expérience à vivre et pas seulement pour les fans de mangas! Le quartier regorge d’immenses tours où chaque étage est dédié à un type de mangas. 

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Akiabara

Des milliers de fans s’y pressent chaque jour pour acheter, lire et revendre des mangas, figurines, et autres accessoires. L’ambiance est bruyante, électrique, et vous ne trouverez nulle part ailleurs ce spectacle!

A visiter le même jour que Ueno, Asakusa, et Yanaka.

 

 

 

 

 

Ginza

Ginza, le quartier des boutiques de luxes et des jolis restaurants et des clubs. Ginza c’est le quartier des lumières, à visiter en fin de journée pour voir les rues s’illuminer de néons. Direction la Chuo Dori Street, celèbre rue commerçante qui est interdite aux voitures le week-end d’avril à septembre.

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Ginza

Le quartier est idéal pour faire du lèche vitrine, visiter le centre commercial Marronnier Gate, la boutique de jouet Hakuhinkan, et les galleries d’arts.

De Ginza, vous pouvez rejoindre à pied la gare de Tokyo, la ballade vaut le détour entre les grands buildings et les boutiques. Particulièrement animé en sortie de bureau!

 

 

Shimokitazawa

Si vous avez envie de vous encanailler le week-end, direction Shimokitazawa où les tokyoïtes se ruent pour diner, boire des verres et aller dans des petites salles de concerts supporter la scène locales.

Le quartier est adorable, des petites ruelles qui s’entremêlent, des boutiques vintages, restaurants et cafés et quelques marques encore japonaises. Le quartier est plus indie que le grand Shibuya et souvent moins cher.

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Shimokitazawa

J’ai passé la meilleure soirée à Tokyo dans une salle petite salle de concert le Cave BE, qui proposait une soirée (dès 17h) ska punk. Une véritable expérience à vivre et surtout un moment pour découvrir la scène locale et discuter avec des musiciens (et boire quelques Asahi).

 

Shibamata

Pour faire une pause dans l’effervescence de la ville, cap sur Shibamata à 1 heure de Tokyo. La ville est célèbre pour avoir été le lieu de tournage de « Otoko wa Tsuraiyo » super populaire au Japon.

Les japonais adorent se rendre à Shibamata, qui a été une de mes plus jolies découverte. L’endroit est calme, typique, avec ses petits restaurants et sa rue principale piétonne.

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Shibamata

Excellents mochis, dangos, dorayakis et daifukus à déguster chez les marchands de rues!

Le temple Shibamata Taishakuten est à ne pas rater, un de plus beaux temples que j’ai pu visiter à Tokyo, datant de la période Edo. C’est un véritable espace de vie, où les enfants côtoient les étudiants et les personnes âgées.

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Shibamata

Un petit détour par la rivière Edogawa pour se dégourdir les jambes et vous êtes prêts à repartir à Tokyo!

 

 

 

 

Nakameguro – Daikanyama – Ebisu

Mes 3 quartiers favoris à Tokyo! On y trouve beaucoup de cafés, et boutiques authentiques loin des chaînes parfois industriels que l’on trouve partout (dans le monde), merci la mondialisation.

Promenez vous le long de la rivière Méguro, et profitez en pour découvrir d’adorables cafés, boutiques et restaurants. On y trouve aussi pas mal de street-art.

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Daikanyama

Pour les vegans, un restaurant le Rainbow Bird Café qui propose une carte 100% vegan, et des gâteaux gluten-free dans une ambiance super cozy.

Du canal, direction Daikanyama, le quartier arty de Tokyo, où on déambule de ruelles en ruelles.

Boutiques tendances, vintages, café et restaurants, ici tout est à la pointe de la tendance.

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Mazesoba Mitsuboshi

Pour les amateurs de bières, la brasserie Spring Valley vaut le détour pour l’endroit et la bière brassée au yuzu.

Si vous aimez le chocolat chaud, le Queen’s Collection Chocolate café propose des chocolats chaud à la fondue. On choisi son chocolat, la teneur en chocolat, etc. et on se fabrique son chocolat chaud directement sur un mini appareil à fondue. Ou arrêtez vous dans le sublime Caffe Michelangelo, ses baies vitrées et sa terrasse pour prendre le soleil.

A visiter, Kyu Asakura House, pour découvrir une maison japonaise traditionnelle en tatami, et son petit jardin japonais. L’entrée coûte seulement 100 yen et la visite vaut le détour.

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Kyu Asakura House

A Ebisu, un tout petit restaurant le Mazesoba Mitsuboshi propose d’excellents plats vegan!

Pour les amateurs de bières toujours (je lève la main), le musée de la bière Yebisu propose une visite mais surtout un bar pour découvrir toutes les bières de la marque.

 

 

 

 

Roppongi

Roppongi est le temple des bars, boites … pour les étrangers! Une grande partie de la communauté expatriée habite à Roppongi, qui accueille aussi plusieurs ambassades.

Roppongi Hills peut être intéressante à visiter pour Tokyo City view et sa vue de la ville du haut de ses 238 mètres, les boutiques, restaurants…

Le musée Art Center Tokyo, et le Suntory Museum se trouve également à Roppongi.

 

 

 

 

J’espère ce ce city guide vous sera utile, et n’hésitez pas à partager votre adresse favorites en commentaire!

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Lifestyle

Retrouvez #mondefigratitude sur Twitter @defigratitude!

7 February 2016

 

Dans mon article précédent, je vous proposais de continuer #mondefigratitude tout au long de l’année.

Vous avez été nombreuses(eux) à avoir voté pour la création d’un compte Twitter dédié, et c’est chose faite depuis quelques jours!

Retrouvez tous les tweets tagués #mondefigratitude sur le compte @defigratitude!

[twitter-timeline id=696307266937556992 username=defigratitude]

 

Le principe reste le même, postez vos petits et grands bonheurs quotidien sur vos comptes Twitter avec le hashtag #mondefigratitude

 

N’oubliez pas que ce compte c’est avant tout le votre, celui de la communauté #mondefigratitude!

 

Merci à toutes(ous) pour votre participation,

 

Anouchka

 

 

Japon, Tokyo, Voyages & Adresses

Voyager à Tokyo, questions pratiques / FAQ

1 February 2016

 

 

De retour de mon deuxième voyage à Tokyo, je vous propose de découvrir le Japon à travers plusieurs articles. On démarre avec un article questions pratiques / FAQ, pour répondre à toutes vos questions et préparer votre voyage.

Rendez vous tous les lundis pour découvrir :

  • les visites incontournables et les bonnes adresses
  • la politesse et les faux pas à éviter avec les japonais
  • et un focus sur des accessoires cosmétiques japonais qui cartonnent en ce moment à Tokyo

 

 

 

Besoin d’un visa?

Non, avec un passeport français vous n’avez besoin d’effectuer aucune formalité préablable pour vous rendre au Japon.

Un passeport touriste de 3 mois vous sera remis à la douane, avec sorties autorisées.

 

Quand partir?

Toute l’année! Si l’été est humide et chaud, il reste plutôt agréable avec le chant des grillons en fond sonore. En été l’ambiance est électrique avec de nombreuses fêtes, et des gens dehors toute la nuit.

L’hiver est plutôt ensoleillé et sec, avec une bonne parka vous n’aurez aucun problème à passer la journée à vous promenez dehors. J’ai aimé le calme, et surtout une période avec très peu de touristes.

Et le printemps accueille la merveilleuse saison des cerisiers en fleurs et ses paysages enchanteresques … et son lot de touristes qui débarque au mois de mars et avril.

De manière générale, comptez une bonne semaine pour visiter Tokyo. La ville est immense et il y a de nombreuses choses à voir.

 

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Akiabara

 

Comment se déplacer?

Tokyo bénéficie d’un excellent réseau de métro qui permet de se déplacer partout rapidement. Il est par contre complexe la première fois de comprendre le système tokyoïte : il existe plusieurs compagnies de métro qui fonctionnent de manières indépendantes comme JR ou Tokyo Metro par exemple.

Chaque compagnie a besoin d’un ticket différent, faites attention de bien repérer sur le plan ou via l’application Tokyo Metro sur quelle compagnie vous allez voyager et si un transfert et nécessaire.

Les compagnies fonctionnent dans le mêmes stations, seul le ticket change.

Ensuite à vous de calculer si un pass est plus avantageux ou simplement au ticket. Le prix du ticket se calcule en fonction de la distance à parcourir, il vous suffit de regarder sur un plan (dispo en anglais). Toutes les stations sont annoncés en japonais et en anglais.

Si vous êtes perdus les employés du métro parlent parfois anglais et sont très serviables et présents pour vous aider.

Les bus sont pratiques et avantageux mais il est compliqué de les repérer si on ne parle pas / lis pas le japonais, et les taxis ne parlent pas souvent anglais, mais se révèlent pratique la nuit et à plusieurs.

 

Kabukichō

Kabukicho

 

Où et comment se loger?

Avant l’arrivée d’Airbnb, il était assez couteux de résider à Tokyo entre guesthouse bruyantes et hôtels couteux.

La meilleure option est de louer un appartement en Airbnb, qui vous permettre d’être autonome, et profiter pleinement du séjour. En plus vous bénéficierez souvent d’un pocket wifi (un wifi portatif) pour vous connecter partout, chercher des infos.

Dans le dernier appartement que j’ai loué, les services était encore plus agréables qu’à l’hôtel avec la liberté d’un appartement, et son confort ultra pratique japonais.

Ensuite, pensez à rester central pour éviter de devoir passer un temps monstre dans les transports. Les quartiers autour de Shinjuku, Shibuya ou Ueno sont parfaits pour se déplacer, profiter de la ville, visiter et avoir accès à toutes les lignes de métro facilement.

Pensez que les rues de Tokyo ne sont pas organisés comme aux Etats-Unis ou en Europe, il n’existe pas de nom de rues ou de numéros. Il peut être complexe de se réperer, d’où l’utilisation du pocket wifi pour accéder à une application plan.

 

Communiquer 

Si Tokyo accueillera les JO en 2020, Tokyo est encore une ville qui vit pratiquement exclusivement en japonais.

Les japonais ne parlent pas souvent anglais, et sont souvent un gênés de communiquer avec les touristes.

Les menus des restaurants ne sont toujours traduits ce qui peut créer des quiproquos, mais proposent souvent des menus avec photos. Sachez que les employés des Starbucks et autres compagnies américaines parlent anglais.

Par contre, les japonais anglophones sont toujours venus nous parler spontanément, ravis de communiquer sur leur boulot, ou leur ville.

Alors, pensez à retenir les mots de base : bonjour, au revoir, pardon et merci et de vous traduire quelques phrases comme « Avez vous des plats végétariens? »

 

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Shinjuku Park

 

 

Payer

Mon conseil : retirer des espèces à l’avance que vous changerez à l’aéroport ou dans un bureau de change. Pour éviter les frais exorbitants ou les boutiques et restaurants (ou le métro) encore nombreux à ne pas accepter de carte, le liquide reste la meilleure option.

Pour retirer de l’argent avec une carte internationale, pensez au 7/Eleven (supermarchés) qui proposent des distributeurs équipés. Les distributeurs ne prennent que les cartes japonaises, sauf indication spéciale.

 

 

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Ebisu

 

Manger végétarien / vegan à Tokyo

C’est ici que l’histoire se corse. La nourriture japonaise est loin d’être végétarienne ou vegan, et à moins de parler couramment japonais, il sera compliqué d’avoir un détail des plats.

Dans mon cas, je bascule souvent sur du végétarien plutôt que du vegan en voyage pour éviter de manger des onigiris prune pendant 3 semaines.

Il existe évidemment des restaurants vegan / végé, la liste est disponible sur l’appli Happy Cow, qui resteront l’option sure pour manger en toute tranquillité.

Sur le pouce, les combinis (petits supermarchés ouverts 24/24) proposent des onigiris, des noodles, des salades, des makis vegans…

En dehors de ces aspects pratiques, j’ai mangé de la nourriture saine et délicieuse pendant tout mon séjour. Pensez que Tokyo regorge de restaurants par milliers, et qu’il est aussi possible de manger de délicieuses pizzas, burger, plats indiens, patisseries, nourriture coréenne, pour varier de la nourriture japonaise. C’est ça aussi Tokyo, et vous le comprendrez vite!

 

 

Sécurité

Tokyo est une ville ultra sure. Très peu de crimes contre les touristes y sont reportés, et on se sent tout de suite en sécurité dans les rues de jour comme de nuit même dans les quartiers « chauds » comme Kabuki-cho.

Je n’ai jamais senti d’agressivité, même à 3 heures du matin en rentrant d’une soirée. Ensuite, comme partout : restez instinctif, respectueux, et ne tentez pas le diable.

 

 

J’espère que cette FAQ vous sera instructive! Nhésitez pas à poster vos questions en commentaires, j’essaierais de vous y répondre (ou de poser vos questions à mes amis sur place)! 

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Anouchka

Bien-être, Voyages & Adresses

5 conseils indispensables pour voyager en avion confortablement

25 January 2016

 

Je me faisais le reflexion lors de mon voyage à Tokyo que mes 17 ans étaient désormais bien lointains, et que ma manière de voyager avait complètement changé.

Fini les 12 heures de vol maquillée, les jeans dans l’avion, et un coup de lipstick pour seule routine beauté.

J’ai développé une routine confort pour prendre prendre l’avion sereinement et éviter de trop morfler à l’arrivée. Décollage!

 

1 – Un mot : confortable 

Voyager dans un espace réduit pour une longue durée demande des vêtements qui permettent à la circulation sanguine de bien fonctionner pour éviter les jambes lourdes et pire une phlébite. Par exemple, j’aime voyager en sarouel léger pour éviter l’effet pyjama, mais voyager dans un vêtement ample, assorti d’un tee-shirt en coton.

Pour se sentir comme à la maison, j’ai trouvé des vestes en « doudou » sorte de polaire, que je porte pour dormir au chaud, sans la couverture mi-sale des avions.

Sur un moyen ou long courrier, il est indispensable de ne pas garder ses chaussures. J’aime voyager avec des chaussettes larges en « doudou » (décidemment, je déteste ce mot) et des claquettes de voyage, pliables et parfaites dans leur pochette pour me promener dans l’avion.

Sinon, des chaussons polaires un peu larges sont très confortables, l’essentiel est d’éviter les chaussettes trop serrés qui vous couperont la circulation du sang.

Je ne porte jamais de bas de contention qui me donnent l’impression d’être saucissonnée, mais si vous souffrez de problème de circulation sanguine, pensez à en parler à votre médecin. D’ailleurs, pour avoir plus de place et voyager avec les jambes allongées, privilégiez une place côté couloir plutôt qu’hublot.

 

 

2 – Démaquillage et hydratation 

La règle d’or en avion est de ne pas porter de maquillage. La peau doit être propre, sans aucun produit qui pourrait obstruer les pores sous peine de voir une multitude de petits boutons, et des yeux gonflés le lendemain.

Pour éviter de se surchager mon sac, j’opte pour les miniatures que je remplis de mes cosmétiques favoris : tonique, sérum, savon, crème hydratante auxquels je rajoute un petit tube de contour de l’oeil. Profitez en pour utiliser ces échantillons de box ou boutiques qui trainent dans votre salle de bain.

Si vous arrivez maquillée en avion (ce qui est souvent mon cas), prenez le temps après le décollage de vous nettoyer soigneusement le visage, et procéder ensuite à une hydratation en layering : tonique, sérum, contour de l’oeil, crème hydratante, baume à lèvres. Et ça tombe bien, ça occupe.

Pourquoi? Parce que l’air dans un avion est artificiel, et la climatisation déshydrate énormément la peau. Votre peau même mixte ou grasse aura besoin d’être nettoyée et nourrie en profondeur pour faire face aux heures d’exposition à un environnement sale et climatisé.

Je n’utilise pas de lingettes au quotidien, mais elles s’avèrent plutôt pratique en avion pour se rafraîchir pendant le vol.

Le parfum est à bannir, pensez à vos voisins qui ne supporteront peut être pas votre fragance et surtout que votre odeur se mélangera à celles de tous les passagers. Mieux vaut rester neutre.

Pensez aussi à prendre votre brosse à dent et un mini tube de dentifrice, c’est toujours agréable à l’arrivée.

 

 

3 – Coussins contre courbatures

Commencer les vacances avec le dos bloqué, moyen. Se trimballer son gros coussin bien encombrant, encore plus moyen. J’ai trouvé la solution pour caler mon cou et mon dos avec un coussin et un mini bolster de yoga gonflables. Ni vu ni connu dans mon sac, mais l’astuce idéale pour éviter les courbatures.

Derniers accessoires à adopter  : le masque pour les yeux et les boules quiès pour les plus tatillons.

 

 

4 – Manger healthy même en avion

L’idéal avant un long vol et de ne pas faire de repas lourd dans les 24 heures qui le précède. La digestion peut être ralentie et provoquer une sensation de ballonnement moyennement agréable.

Il est possible de demander un repas végétalien sur toutes les compagnies, qui est par expérience plus léger et sain que les plats omnivores, avec l’avantage d’être servi en premier. Si vous pouvez, l’idéal est de partir avec sa lunch box de fruits, salade ou fruits sec/amandes.

En arrivant, ne vous précipitez pas sur la nourriture, et attendez plutôt le lendemain pour recommencer à manger normalement.

 

 

5 – Et je fais quoi pendant 10 heures? 

Au delà de 2 heures de vol, n’oubliez pas de vous hydater régulièrement. J’ai voyagé dernièrement avec Air China qui nous servait de l’eau toute les 30minutes, mais ce traitement de faveur reste rare. Pensez à acheter une bouteille d’eau ou remplir votre gourde avant de monter dans l’avion et de vous hydrater régulièrement en évitant les sodas.

Je fais partie de ceux qui aiment boire un verre de vin ou de bière pour me détendre après le décollage, sans avoir eu de soucis particulier, mais parlez en à votre médecin en cas de doute.

Pour les plus stréssé(e)s, les gouttes de Bach Rescue fonctionne très bien contre la peur de l’avion, testé sur mes chats et mon mari lors de nos nombreux vols.

Et surtout marchez! Profitez d’une pause pipi, d’aller chercher un verre d’eau à l’arrière de l’avion, ou d’un moment calme pour faire quelques pas et vous étirer toutes les 2 heures.

 

 

Vous êtes maintenant prêt(e)s à voyager léger (je voyage avec un grand tote bag seulement en cabine), et surtout sereinement pour votre prochain périple en avion!  Quels sont vos conseils pour voyager sereinement en avion?

Bien-être, Lifestyle

Et si on continuait #mondefigratitude en 2016?

7 January 2016

 

En décembre je vous ai proposé de participer à un “défi” (relire l’article) pour apprendre à pratiquer la gratitude dans son quotidien et finir l’année 2015 de manière positive.

Ensemble, nous avons partagé nos moments positifs, nos petits bonheurs du quotidien sur Twitter et Instagram. Et chaque message posté a rayonné un peu dans la vie des autres. Un immense merci pour votre implication, on se demande parfois pourquoi tenir un blog depuis plusieurs années, et j’ai eu la réponse tous les jours en décembre. Merci pour cet échange, merci pour vos ondes positives, merci!

J’ai appris à mieux connaitre beaucoup d’entre vous, vos métiers, vos hobbies, vos habitudes, et surtout l’impression d’avoir formé une communauté.

Alors pourquoi ne pas continuer en 2016? Ne perdons pas cette nouvelle habitude de chercher le positif dans nos vies, et surtout de s’encourager les un(es) et les autres à se transmettre une belle énergie.

Au delà de Twitter, la gratitude se pratique avant tout dans la tête. Si des idées négatives commencent à vous envahir, garder le réflex de les contrebalancer avec une pensée positive : un sourire, une phrase, une odeur, une image, pensez à ce qui vous a rendu heureuse(eux) dans la journée.

 

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Cet exercice quotidien peut même s’apparenter à de la méditation minute, fermez les yeux, et en pleine conscience, réfléchissez à ce qui vous a rendu heureuse(eux) et reconnaissant(e).

Mon chiffre fétiche est le 51, j’ai tendance à croire que l’on doit vivre sa vie du côté des 51% plutôt que 49%, c’est à dire faire pencher la balance du bon côté, mais sans être excessive(if), ce qui rejoint l’influence de la gratitude dans son équilibre de vie.

Je continuerais à vous partager mes pensées #mondefigratitude sur Twitter, et n’hésitez pas à partager vos pensées, je me ferais un plaisir des les retweeter dans ma timeline.

 

Je pensais aussi à créer un compte twitter mondefigratitude pour éviter de vous flooder avec mes retweets. Qu’en pensez vous?

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Je vous retrouve dans 2 semaines, après des vacances bien méritées. Pour me suivre dans mes aventures au Japon, rendez sur Instagram (biobeaubon), Snapchat (biobeaubon) et Twitter (@biobeaubon).

 

A très vite, et encore une fois : Bonne année 2016 et merci à toutes(ous) de votre participation!

 

Anouchka

Bien-être, Lifestyle

Alors 2015, on fait le bilan?

31 December 2015

 

Encore une année qui se termine. 2015 aura été une année chargée, positive comme douloureuse, mais une chose est sûre : j’ai appris. 

Chaque année, j’ai l’impression de réussir à me tenir aux objectifs que je me fixe, à travailler de plus en plus dur, et surtout à essayer de devenir une meilleure personne.

Cette année, je crois avoir grandi, ou mûri. Apprendre à s’aimer, aimer son corps, avancer avec les pieds bien ancrés dans le sol tout en continuant de laisser son esprit dans les nuages est un travail compliqué, mais j’ai l’impression d’y arriver.

Je ne cherche plus à savoir qui je suis, tout en étant un work in progress. Contradictoire? Pas vraiment, avec le temps on apprend à comprendre sa personnalité, ses valeurs, ses combats, se débarrasser du regard des autres et des leurs avis, à se focaliser sur la réalisation de projets plutôt que développer une coquille vide d’image sociale biaisée.

En 2015, je m’étais fixée plusieurs objectifs :

  • Voyager, encore plus
  • Apprendre une nouvelle langue (ou passer un nouveau diplôme)
  • Commencer à écrire un bouquin
  • Prendre le temps

 

 

 

Voyager, encore plus

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Si 2014 a été une année de voyages en Amérique du Nord, marquée par un déménagement de Washington vers Londres, j’ai profité d’être en Europe pour explorer d’autres contrées.

Je ne connaissais pas vraiment Londres avant d’y habiter, et cette année, j’ai appris à connaître cette immense mégalopole, en parcourant la ville comme une touriste, quartier par quartier pour faire de Londres ma maison.

En mars, j’ai réalisé un rêve en partant en Afrique de l’ouest à la découverte de la Gambie, qui reste une des expériences les plus dépaysantes dans ma vie de voyageuse. Je ne connaissais rien de la Gambie, et j’ai pu découvrir des paysages incroyables, des gens généreux, un pays accueillant.

En juin, je suis allée à Berlin, une ville que je connaissais déjà un peu, mais cette fois ci j’ai eu enfin l’impression de comprendre sa culture et son environnement. J’ai parcouru l’est berlinois de terrasses en musées et vu un concert dans une citadelle.

En juillet, mes valises se sont posées à Lanzarote, une île située en face du Sahara. J’ai toujours été fascinée par cette île lunaire, ses volcans, sa douceur de vivre et son identité Canaries. Lanzarote est un endroit inspirant, vibrant, mystérieux où l’on ressent de très fortes ondes magnétiques. En 3 semaines, nous avons beaucoup écrit, composé, pris le temps de regarder des vieux films, dormir sur les plages, et lire des tonnes de bouquins.

Et toute l’année, j’ai pu (dû) faire de nombreux allers-retours à Paris, ce qui ma permis de comprendre que je n’habitais plus en France. J’ai beau venir souvent à Paris, après 20 ans de vie parisienne, je n’ai plus le même regard sur cet endroit qui ressemble maintenant à un joli souvenir.

Alors, 2015 aura été une année de voyages insolites, loin des sentiers battus et des destinations attendues, j’ai l’impression d’avoir appris milles choses de ces voyages magiques. Je continuerais à tamponner mon passeport en janvier 2016 au Japon. 

 

 

 

Apprendre une nouvelle langue (ou passer un nouveau diplôme)

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Il y a quelques mois (en septembre), je me posais la question de reprendre un cursus en parallèle de mon travail et du blog. J’ai réfléchi quelques temps à la psychologie pour faire un travail en coaching et développement personnel, mais tout ça était trop proche du blog, et du livre que je suis en train d’écrire. Pour s’inspirer, il faut aussi sortir de son univers de référence.

Ma passion pour les voyages et l’interculturalité m’a plutôt poussé à apprendre une nouvelle langue : rien de mieux pour faire fonctionner son cerveau!

J’ai donc commencé l’apprentissage du coréen en novembre dernier, avec une professeur particulier pendant quelques semaines, avec beaucoup de recherches personnelles. Je lis désormais le hangul (alphabet coréen) et maitrise les bases. J’apprends aussi et surtout les aspects sociétaux de la culture coréenne, à travers l’histoire et l’économie.

Bref, c’est passionnant, enrichissant, je retrouve la fierté de noircir des cahiers, déchiffrer un alphabet. En 2016, j’ai décidé de continuer à apprendre la langue mais dans un institut / centre culturel, pour pourvoir développer plus de capacités à l’oral.

Je ne vous conseillerais jamais assez d’apprendre de nouvelles langues, il n’est jamais trop tard!

 

 

Commencer à écrire un bouquin

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Si écrire sur Biobeaubon est l’un des projets les plus enrichissants que j’ai pu développer jusqu’ici, j’ai eu envie poursuivre l’aventure en écrivant un livre sur le développement personnel à travers la pensée positive et la méditation.

A la différence de Biobeaubon, j’aimerais parler des expériences de vies que j’ai pu traverser pour donner des exemples concrets sur l’influence de la pensée positive sur le quotidien. Ce qui signifie aussi fouiller dans son passé, comprendre avec du recul, quelles leçons j’ai pu tirer de ses différents moment de vie, et quel a été l’impact de la méditation ou de la gratitude par exemple.

Et ce travail est long, parfois un peu douloureux. Mais je m’y attelle, la trame prend forme semaine après semaine. Ecrire demande beaucoup de rigueur, il faut comprendre quel est son rythme, quel est le cadre à favoriser, repenser les codes de l’écriture pour quitter le schéma blog pour un style plus littéraire. C’est du travail, mais un superbe projet!

 

 

 

Prendre le temps

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Surement l’objectif le plus difficile que je m’étais fixée pour cette fin d’année. Entre juin et octobre, je peux compter les nuits passées chez moi. C’est simple, ma valise n’a pas quitté l’entrée de mon appartement, je passais littéralement mon temps à la remplir et la vider. Ce qui peut paraitre excitant était devenu pour moi une contrainte. En octobre, je m’étais fixée l’objectif de plus sortir de Londres jusqu’aux fêtes de fin d’années.

Et j’ai tenu mon pari en redécouvrant les joies de profiter de sa maison, passer des week-ends à se promener, à partir à la découverte de la ville, et tout simplement en roupillant devant des séries sous la couette.

On a tendance à croire qu’une vie riche est une vie vécue à 100 km/heure, j’ai appris le contraire en quelques mois. Avoir du temps pour soi, pour se reposer, pour enfin planifier des choses, apprendre le coréen, voir des amis, et reprendre des habitudes, qui sont parfois précieuses.

Même si le début de l’année 2016 à l’air de ressembler à un marathon d’avions-déplacements, je ferais en sorte de ne plus retomber dans les mêmes travers, en privilégiant ma vie à Londres. Voyager oui, toujours, mais arrêter de courir pour le travail, la famille, les rendez-vous.

 

 

 

2015, des épreuves mais surtout du positif 

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Cette année a été l’année de toutes les épreuves. Sans rentrer dans les détails, je pensais avoir vécu le plus compliqué à vivre en 2014. Et instinctivement en écrivant ce bilan, je me suis dit “Aww, quelle année horrible”. Entre les attentats en France, le climat ultra violent, et plus personnellement quelques drames personnels, cette année a été éprouvante.

Mais positive. Je ne me suis jamais sentie aussi forte face aux épreuves. Le pari a été compliqué, entre ambition professionnelle, projets personnels complexes, corps soumis à beaucoup de changements. Mais j’ai réussi à en venir à bout.

Cette année, j’ai été entourée de ma famille comme jamais, j’ai formé une équipe soudée avec ma moitié, j’ai pleuré, vécu, ri, hurlé. Mais j’ai appris.

Plus les épreuves sont compliquées, plus on apprend à se relever facilement, et 2014 et 2015 m’auront appris tout cela. Ne jamais abandonner, ne jamais tomber dans la plainte et la pleurnicherie, voir toujours plus loin, et se dire que tout ira bien à la fin, toujours.

 

Alors j’ai hâte d’être en 2016, l’année de mes 30 ans, une année qui s’annonce forte en voyages et en projets. Je vais prendre le temps de réfléchir à mes objectifs pour l’année à venir avant de les partager, même si je pense surtout suivre la lignée de mes projets de 2015 et continuer à les concrétiser.

 

MERCI à vous d’être de plus en plus nombreu(ses) sur Biobeaubon, merci pour tous ces échanges passionnants en 2015, merci de partager un bout de votre vie, merci de montrer que l’on peut être plus positifs(ves) ensemble.

 

Rendez vous dans quelques jours avec le bilan du défi #mondefigratitude

 

Et je vous souhaite une incroyable année 2016, positive et douce.

 

 

Quel est votre bilan pour l’année 2015, et vos temps forts ?