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February 2018

Bien-être, expatriation

Quitter son home office après 5 ans pour un open space ?

9 February 2018

 

Le sujet du bien-être au travail est au cœur des conversations en ce moment. Les employés réclament, à juste titre, des conditions de travail suffisamment agréables pour s’épanouir dans un cadre où l’on passe en moyenne 8 heures par jour. J’ai récemment décidé de quitter un rythme home office 4 jours par semaine, très confortable, pour un open space, après 5 ans dans un cocon, pour des raisons professionnelles mais aussi humaines. L’occasion de partager mes premières impressions sur un univers bien trop souvent idéalisé !

 

Des études en auto-gestion vers les premiers pas dans la vie professionelle

J’ai toujours étudié ou travaillé de manière indépendante, très jeune j’ai quitté le lycée traditionnel pour passer mon bac par correspondance via le CNED, que j’ai obtenu du premier coup. J’ai toujours eu du mal avec les emplois du temps imposés, les heures sur une chaise à écouter un/e professeur.

Après le bac j’ai choisi de faire toutes mes études en apprentissage du bac +1 au bac +5, du BTS à une grande école, j’ai adoré le principe de venir en cours de manière très condensée, et repartir me promener sur le terrain, avec une autonomie complète sur ma gestion des projets d’études.

Mais voilà, le monde de l’entreprise n’étant pas si flexible, et encore moins il y a 10 ans, j’ai vite pris le pli de faire des longs trajets dans les transports parisiens, et passer ma journée en open space à composer avec les autres, le bruit, les réunions, les appels…

Et en 2013, quand j’ai décroché un poste à Washington, j’ai eu la surprise de découvrir que l’entreprise offrait la possibilité de travailler en home office 3 jours par semaine et venir 2 jours au bureau. Parfois plus, parfois moins, le rythme n’était pas imposé aux employés. J’ai continué à travailler pour cette entreprise pendant près de 5 ans, après Washington à Londres, et majoritairement en home office.

Et depuis un mois environ, j’ai décidé de quitter mon cocon pour retrouver le chemin des open space, dans une entreprise, un job, une culture complètement différente, mais toujours flexible !

 

 

Home office, un paradis ?

L’image que l’on a souvent du home worker est une personne qui travaille avec de grosses chaussettes et pyjama en pilou, avec un thé brulant et son ordinateur sous la couette.

J’ai effectivement adopté tous les clichés du home working, les chats en plus, et pourtant je ne travaille pas comme freelance, loin de là. Mon travail consistait à coordonner la communication digitale d’une entreprise internationale, avec des équipes aux 4 coins du monde. Je démarrais parfois mes réunions très tôt avec l’Asie, et tout au long de la journée avec l’Europe et les Etats-Unis dans l’après-midi.

Pour quelqu’un qui passait sa journée au téléphone ou en visio conférence, avec des horaires très variables, le home working était au départ une situation idéale : pas de transport, la possibilité de travailler n’importe où ou presque, et du temps précieux gagné pour d’autres activités personnelles.

Au détail près, que travailler en équipe à distance pendant plusieurs années s’est révélé un frein sur la dynamique et la cohésion de groupe. Manager et participer à des grands projets quand on se voit une fois ou deux par an pour certains, et une fois par semaine pour d’autres est extrêmement difficile. Les emails sont parfois mal interprétés, il est aussi difficile de tisser des liens avec des collègues, d’apprendre d’eux, et d’avoir des réponses immédiates pour des choses toutes simples.

 

J’ai pourtant réussi mon pari, en évoluant dans l’entreprise, où le home working était extrêmement répandu, partagée entre amour de mon confort quotidien, et frustration de ne pas avoir plus de contacts humains quotidiens avec les autres. Moi qui était au départ très introvertie, et en particulier dans le monde du travail, je me suis rendue compte que j’avais changé avec les années.

Parce que travailler à l’étranger, c’est aussi s’imprégner de la culture locale, observer les gens, leurs coutumes, leur mentalité. C’est ce que je faisais en condensé chaque fois que je venais au bureau.

Il y a eu des côtés incroyables au home office, comme le fait de passer une grossesse sereine sans devoir affronter les transports, la voiture, les fauteuils parfois inconfortables, les questions, mais simplement travailler dans mon cocon, jusqu’à la 39e semaine.

Il faut aussi savoir que même si les gens autour de vous peuvent être un facteur de stress, ils sont aussi source de force. Etre seule face à son ordinateur à gérer un projet stressant, quand le reste de l’équipe est autour d’une table est encore plus anxiogène, je l’ai vécu lors de sorties de projets où je manquais cruellement de communication en temps réel.

Un autre aspect que l’on élude souvent, est le fait de manque de contacts humains. Un*e freelance peut travailler dans un espace de co-working, parfois chez ses clients, mais dans mon cas, il était difficile de travailler dans un café, trop bruyant et gênant en visio-conférence et le coworking ne prenait pas de sens. J’ai par contre eu la chance de travailler au UK ou en France quand mon emploi du temps personnel le demandait, sans poser de jour off pour autant.

Autant à Londres, j’avais une équipe sur place qui se déplaçait une fois par semaine, ce qui me permettait d’affronter les transports (1H30 pour rejoindre le Berkshire), et profiter de mes collègues, autant à Bruxelles le deal était différent, j’allais être la seule personne de mon équipe sur le site.

Cette situation couplée à une envie de changer de dynamique, de me faire des contacts dans une ville où le réseau est plus petit, et m’immerger dans la culture belge, m’a poussée à changer d’entreprise et quitter mon home office.

 

 

Confort de vie et carrière, trouver la bonne balance !

Prendre une décision aussi difficile m’a valu quelques mauvaises nuits. Je savais que la situation n’était plus idéale pour poursuivre ma carrière à Bruxelles, moi qui ambitionne d’évoluer dans le management, et que je ne souhaitais pas me mettre à mon compte pour de multiples raisons, la principale étant que je ne veux pas sacrifier ma situation financière.

Mon endométriose sévère et le fait d’avoir un enfant en bas âge ont aussi pesé dans cette peur du changement. Mais j’ai toujours refuser de laisser mes choix dictés par la peur, et l’envie de continuer à évoluer professionnellement à un moment clef de ma carrière, 10 ans sur le marché du travail, 30 ans, et 4 pays, je souhaitais capitaliser sur cette étape charnière.

J’ai donc cherché une entreprise internationale, qui encourageait l’autonomie, la flexibilité, les rendez-vous à l’extérieur fréquents, même si la présence au bureau était évidemment imposée.

Concernant mon enfant, le rythme est rôdé, je l’emmène le matin ou le récupère le soir, une semaine sur deux. Je fais partie des gens qui arrivent tôt au bureau et partent plus tôt, pour pouvoir profiter de mon enfant en fin de journée. Il y a aussi des personnes qui préfèrent arriver plus tard et travailler plus longtemps en fin de journée, le rythme est différent pour chacun/e

Je n’ai pas eu à imposer ce rythme, cela a été discuté dès l’entretien, en toute transparence, pour éviter les mauvaises surprises. J’ai aussi l’aplomb nécessaire aujourd’hui de ne pas m’excuser d’avoir un enfant.

Alors évidemment, j’ai sacrifié un peu de sommeil, et pris le pli d’aller et venir de la maison vers la crèche, de la crèche vers mes rendez-vous, mais sans culpabilité aucune sur mon emploi du temps, je récupère mon enfant à la même heure qu’avant, et je suis toute disponible pour lui jusqu’au coucher, quitte à reprendre mes mails après.

 

 

La réacclimatation avec le monde merveilleux de lopen space 

L’open space est souvent considéré comme un enfer sur terre. J’ai longtemps pensé ça aussi, un peu traumatisée par les gens bruyants, l’obligation de rester sur sa chaise toute la journée jusqu’à 19h. Bref, mon expérience française, l’Angleterre et les Etats-Unis fonctionnant sur un tout autre modèle de mon expérience : profiter d’être au bureau pour travailler avec ses collègues, parfois manger devant son ordinateur, mais partir quand son travail est terminé sans entendre « tu as posé un RTT ? ».

J’ai aussi eu l’occasion de faire un voyage d’étude sur l’environnement du lieu travail, physique comme humain à Copenhague avec mon ex-employeur, voyage passionnant, qui m’a ouvert les yeux sur le fait qu’il était possible de bien vivre quand on travaillait dans un open space. Les danois sont responsables dès le plus jeune âge de leur agenda, et surtout face au savoir-vivre en communauté, chose que l’on cultive naturellement dans les pays du nord. L’idée au Danemark est d’abattre les murs, les bureaux, pour ne garder qu’un maximum d’open spaces et de free-desk (bureaux tournants), pour travailler selon les projets. Les bureaux que j’ai eu la chance de visiter avait souvent une ou plusieurs cuisines, pour se sentir chez soi, et des grandes fenêtres pour laisser entrer la lumière qui fait parfois cruellement défaut dans le nord de l’Europe.

J’ai finalement trouvé un environnement de travail serein à Bruxelles, flexible, avec une forte présence au bureau, le travail dans les médias l’impose avec une dynamique entre les équipes, mais aussi des personnes qui savent travailler ensemble, dans le calme majoritairement, et parfois avec des moments plus drôles pour relâcher la pression. Chacun travaille dans son coin, part en rendez-vous, repart, travaille chez soi, revient au bureau, file en réunion, selon son emploi du temps.

J’ai aussi pris le pli de ramener les choses essentielles pour me sentir chez moi, du thé, des biscuits, de la crème pour les mains avec une odeur que j’aime, un gilet… Et utiliser les cuisines pour prendre mon petit déjeuner quand je pars le matin sans déjeuner, stocker mon déjeuner comme la majorité des gens, ou aller faire mes courses sur l’heure du déjeuner pour me retrouver en solo et faire des emplettes en évitant d’empiéter sur le précieux temps avec mon fils.

Quand je dois écrire et que l’open space est bruyant ? Je fonce dans une salle de réunion. Quand j’ai besoin de me retrouver, je lance un podcast ou une playlist en travaillant. Pour éviter à mon endométriose de faire des siennes, je marche régulièrement, m’étire, travaille sur un ballon, boit beaucoup de tisanes… L’endométriose étant toujours une saloperie dans ma vie, mon choix a toujours été de vivre en gérant les crises au jour le jour.

Faire du temps de transport un temps pour soi 

J’avais perdu l’habitude de conduire ou prendre les transports toute la semaine pour aller bureau. J’ai dû aussi me réhabituer au fait de conduire en ville, ou affronter le métro/tram aux heures de pointes, quoique plutôt facile à Bruxelles.

Si je suis en tram, j’en profite pour écouter des podcasts ou des livres audio, ma nouvelle passion, me mettre dans ma bulle, boire mon thé ou un smoothie attrapé en chemin. Je lis aussi beaucoup plus, car avec un enfant et un boulot, trouver du temps pour lire est un casse-tête frustrant.

En voiture, j’apprécie d’écouter ma musique, des podcasts encore comme Affaires Sensibles, et de me retrouver seule dans mon deuxième cocon, même si les automobilistes sont parfois un peu stressants, je tente de profiter de ce précieux me-time.

Et moi qui n’arrivais pas à développer ma pratique du yoga à la maison, j’ai finalement profité de ce changement de rythme pour aller au studio une fois par semaine ou deux, mais prendre le temps chaque soir de retrouver mon tapis : quel bonheur !

 

Un choix qui confirme mes attentes professionnelles et personnelles

Et finalement, malgré la peur du changement, je me rends compte que quitter mon confort du home office, qui devenait de moins en moins confortable d’ailleurs, était un bon choix. Je rencontre des gens à Bruxelles, construit un réseau, apprend des tonnes de choses au bureau chaque jour, participe à des conférences, des présentations, chose qui commençait à me manquer en home office.

J’ai appris en 5 ans d’home office, à être très concentrée sur ce que je fais au travail, ne pas me disperser, travailler de manière autonome sur une chose à la fois, et cette autogestion est toujours appréciée des gens autour de moi.

Et finalement, ce que je craignais se révèle être une bonne surprise, travailler en bonne intelligence dans un environnement exigeant mais agréable, peut-être possible.

Je n’exclue rien pour l’avenir, peut être que dans quelques années je déciderais d’écrire une thèse, faire une formation pour changer de carrière, ou me mettre à mon compte qui sait ? Aucun choix n’est gravé dans le marbre, pour le moment, j’ai simplement décidé de rejoindre une dynamique sociale plus adaptée à mon arrivée dans un nouveau pays.

Ma vision de l’environnement parfait ressemble à un 4 jours au bureau et 1 jour à la maison pour avoir un calme absolu et rédiger mes dossiers efficacement, et pouvoir jongler avec des rendez-vous, des moments de rédaction, et d’échanges avec mes collègues.

 

J’ai bien évidemment conscience du privilège de pouvoir penser à la notion de bien-être au travail dans le contexte socio-économique actuel, mais elle me semble essentielle pour réinventer l’espace de travail de demain.

Par ailleurs, je prendrais le temps de développer mes découvertes sur le modèle danois, pionniers en matière de bien-être au travail.

 

 

Votre avis sur le sujet m’intéresse beaucoup, comment gérez-vous le bien-être au travail ?  

expatriation, Maternité

Top et flop des accessoires de puériculture à Paris, Londres, Bruxelles, Bangkok et L.A

2 February 2018

 

Quand on attend un enfant, la découverte de la liste de naissance peut faire froid dans le dos. J’ai appris quelques semaines avant la naissance qu’il fallait mettre un body sous le pyjama d’un bébé, ou que la tétine n’était pas obligatoire.

Si l’envie que votre progéniture ne manque de rien, mieux vaut demander quelques conseils aux parents avant de se lancer dans une liste d’achat inconsidérée! Certains accessoires peuvent se relever parfaitement inutile, mais lesquels ?

J’ai demandé conseil à des copines mamans à Paris, Bangkok, et Los Angeles, pour compléter mon expérience à Londres et Bruxelles. De quoi éclairer votre lanterne, que vous habitiez à un bout ou l’autre du globe !

 

Julie, du blog Formally Informal. Maman parisienne d’un bébé de 9 mois 

Quels sont les 3 objets qui ont été indispensables quand tu as eu ta fille ?

  • Coussin d’allaitement… que j’utilise encore aujourd’hui, 9 mois après sa naissance ! Parfait pour sauver son dos, sa nuque et ses bras en se calant dans le lit ou le canapé avec bébé qui fait la sieste ou qui tète… surtout la nuit !
  • Tire-lait… manuel ! Après avoir lu des centaines d’avis en ligne, j’avais opté pour un tire-lait électrique de compétition les premiers mois, la version la plus pratique et efficace pour beaucoup de mamans… mais pas pour moi ! La révélation a été le tire-lait manuel, petit, facile à laver et à utiliser. Je m’en sers encore quotidiennement.
  • Écharpe de portage. Parfait pour sortir en ayant les mains libres (pratique quand on a des courses à faire ou qu’on part en voyage) ou pour laisser son bébé faire la sieste contre soi pendant qu’on vaque à ses occupations. Le peau à peau, sa petite respiration contre nous et les câlins, c’est que du plus 🙂

 

Et quel est l’accessoire le plus inutile selon toi  ?

Un mouche bébé… Impossible de l’utiliser sur ma fille qui se débat autant de possible (et même plus encore ^^). Notre pédiatre ne recommande même pas son utilisation au final…

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Lini, du blog Lini’s Choice, maman à Bangkok d’un bébé de 6 mois

Top 3 des objets indispensables ? 

  • Une swaddle blanket à scratch pour emmailloter la petite les 2 premiers mois. Je le faisais déjà pour ma fille il y a 22 ans (et oui !) et à Monaco dans la maternité je faisais office d’OVNI car ce n’était pas encore populaire en Europe. En Thailande, les infirmières l’ont emmaillotée dès le début et m’ont appris à bien faire le pliage pour pas que ça se défasse dans la nuit. Du coup j’ai acheté plusieurs swaddle blanket qui m’ont bien servies. Jusqu’à ce que je trouve une swaddle blanket à scratch super pratique et super rapide à mettre en place. Je l’ai bénie les nuits où j’étais pas super réveillée pour faire de l’origami avec un bébé ronchon.
  • Du liniment oléo calcaire. Introuvable en Thailande. Et comme j’avais vraiment envie d’éviter d’utiliser trop de lingettes avec des produits inconnus j’ai profité des amis qui venaient de France et de ma grande fille (alors hôtesse chez Emirates) qui faisait des escales à Bangkok, pour m’en faire ramener. J’ai un stock pour 1 an facile ^_^
  • La moustiquaire pour la poussette et l’anti-moustique (sans produits chimiques) pour sa chambre. Indispensable dans un pays où les moustiques pullulent et véhiculent diverses joyeusetés comme la dengue. Elle se fait quand même piquer de temps en temps mais on limite les dégâts.

 

Le flop ?

  • A mon grand regret les couches lavables. Je m’étais mise en tête de n’utiliser que ça, convaincue par l’économie, le côté eco-friendly etc La première fois que j’ai voulu l’utiliser, la petite avec des cuisses trop fines, du coup ça a fuit de partout. J’ai un peu attendu et j’ai retenté mais à l’usage j’ai trouvé ça beaucoup trop contraignant. Trop de trucs à laver, trop de manipulations, trop épais sous les bodys de la petite … Je vais attendre un peu et retenter. Sur les conseils d’une amie qui est pro couches lavables, je vais les utiliser que le weekend quand elle sera un peu plus grande. Au moins ma conscience sera un peu apaisée (pas beaucoup au vu de la montagne de déchets que je génère).

 

Le bon plan de Lini à Bangkok : les doudous faits maison de Melody from Paris, une amie expat à Bangkok. C’est mignon mais pas gnangnan, plutôt design même ! Les accroches tétines sont super pratiques et la petite adore les doudous !

 

Blog Lini’s Choice

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Et découvrez le guide Bangkok Essentiel, écrit par Lini, fraichement paru aux Editions Nomades! Plus d’infos

 

 

 

Elodie, du blog Melo Furtherwest, maman à Los Angeles d’un bébé de 13 mois

Top 3 des objets indispensables ? 

  • Les bodys qui s’ouvrent sur le devant (bodies cache-coeur/croisés ?) pour éviter d’irriter et d’empêcher la cicatrisation du cordon.
  • Un sac à langer, ni trop gros ni trop petit, à emmener partout avec soi : lors des ballades, des courses, des rdv…
  • Des bavoirs et petites lingettes par dizaines (pour les petites régurgitations)

 

Et le flop ?

  • Un chauffe-biberon. À l’hôpital ils donnaient le lait à température ambiante, il semblait apprécier et la digestion était bonne. Du coup nous avons continuer comme ça, et sincèrement sans regret c’est tellement plus pratique lorsque l’on part en ballade !

 

Blog Melo-Furtherwest

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Retrouvez aussi les conseils d’Elodie sur Los Angeles, sur le guide Los Angeles l’essentiel aux Editions Nomades !

 

 

 

Carole du blog Smootheries, maman à Paris d’une petite fille de 4 ans 

Top 3 des objets indispensables ? 

  • La poussette citadine qui se faufile partout (une Yoyo de Babyzen si tu veux citer des marques) : Dire qu’avant la naissance de ma fille, j’hésitais même à investir dans une poussette ! Je me voyais déjà, maman super cool et écolo, parcourir les rues avec mon enfant en écharpe… et je l’ai fait, un peu. Mais plutôt pour aller prendre le train ou acheter du pain. Pour les longues balade, pouvoir manger dans un étroit restaurant parisien sans avoir un nourrisson sur les bras, ou prendre l’avion seule avec 1 valise, 1 sac à langer et un bébé, la poussette qui tient entre deux tables et voyage en cabine était ma sauveuse.
  • Le mini lit de nourrisson à hauteur de mon lit : peu convaincue par les lits “co-dodo” (et surtout par leur prix) j’ai acheté un berceau en carton pour les premiers mois. Hyper léger, on pouvait le mettre dans le salon quand on y était, et le transporter, nourrisson compris, dans notre chambre en se couchant. Il me suffisait de tendre les bras, pour attraper ma fille et l’allaiter la nuit, avant de la reposer, un filet de bave au coin des lèvres. Bilan : pas besoin de sortir de son lit en pleine nuit (non, je ne changeais pas sa couche à chaque allaitement, surtout si elle s’était rendormie).
  • Le kindle : pour lire d’une main, dans le noir, en allaitant à 4h du matin (j’ai essayé d’allaiter en dormant mais après quelques crevasses, j’ai préféré lire).

 

Et le flop ?

  • J’ai acheté un énorme lot de couches lavables. Je les ait toutes essayées deux fois (pour être bien sûre que ça fuyait, que ça se tachait, et que j’allais être une mère pas écolo), avant de les revendre à moitié prix.

 

Blog Smootheries

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Mon top et flop de jeune parent d’un bébé de 14 mois, à Londres et Bruxelles

 

Top 3 des objets indispensables ? 

  • Des pipettes de liquide physiologique. Ce qui semble élémentaire chez les parents français, est introuvable à Londres! Notre kiné-respi français nous a conseillé de ne pas utilisé un mouche bébé mais des pipettes de sérum physiologique pour nettoyer le nez de notre fils, constamment enrhumé. J’ai même trouvé du spécial rhume avec un antiseptique, qui nous évite que la machine à morve se dépose sur les bronches! La seule solution ? Faire un stock en France ou demander à une bonne âme de vous faire un colis…
  • Le combo chapeau et sac à dos !  Londres et Bruxelles sont connues pour leur temps pluvieux, naviguer avec une poussette et un parapluie est loin d’être pratique. J’ai toujours un grand chapeau, que je visse sur ma tête les jours de pluies, faute d’avoir trouvé un beau ciré à mon goût. La tête au sec et les deux mains libres pour faire de la poussette sportive, merci les trottoirs 36 trous! Concernant le sac à dos, le mien vient de chez Gaston Luga une marque suédoise. J’ai longtemps arpenté Londres avec une poussette, un sac de lange (très pratique au début), et mon sac à main : erreur fatale pour mon épaule. Rien de plus pratique qu’un sac à dos quand on cours entre boulot, bébé et yoga. Je n’utilise plus de sac à langer, mais mon sac contient souvent, mon ordinateur portable, un leggings et un débardeur, quelques couches, des lingettes, des snacks… Le sac de Mary Poppins !
  •  Un sac bean pour un bébé relax en toute sécurité. J’avais vu ce sac chez une amie jeune maman. On peut l’utiliser dès la naissance, bébé dort confortablement sur son bean, bien attaché par des lanières. Il permet de pouvoir “vaquer” à ses occupations en toute tranquillité, en le déplaçant dans toute la maison en un tour de main. Et quand bébé grandit, on peut le transformer en pouf!

 

Et le flop ?

  • La balancelle automatique. Mon fils l’a littéralement détesté, la sensation de swing le faisait pleurer automatiquement. On misait de grands espoirs sur cet objet, monté avec amour vis après vis. Finalement, une écharpe de portage est le meilleur ami des bébés qui veulent être tout le temps en mouvement, moins cher et tellement pratique…

 

Sac à dos Gaston Luga, livraison gratuite, 15% réduction sur le sac de votre choix et 20% de réduction sur les taxes si vous êtes hors UE avec le code BIOBON

 

 

Un immense merci à Julie, Lini, Elodie et Carole pour leur précieux conseils. Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à me le dire, j’organiserais de nouveaux articles collaboratifs sur la maternité et la famille. 

A votre tour de partager en commentaire votre top et flop des articles de puériculture!